On admet que les cellules souches dentaires offrent de nouvelles perspectives d’utilisation dans le domaine médicale. Les capacités thérapeutiques et les bénéfices cliniques de l’utilisation des cellules souches dentaires, ne sont pas limités exclusivement dans le domaine odontologique, mais aussi dans le domaine de la médecine régénératrice.
Il devient donc possible, dans un future proche, d’exploiter ces cellules souches pour traiter les maladies comme l’infarctus du myocarde ou encore les dysfonctions hépatiques. Vue l’opportunité médicale, le terme « banque dentaire » a été proposé pour la première fois en 1966. Plusieurs tentatives pour préserver les cellules souches dentaires ont étaient reporté par des recherches scientifiques.
La première banque commerciale des dents a été établie au Japon en 2004 et un nombre important de dents ont été conservées.La pratique de la cryopreservation et l’usage tardif des cellules pour un usage clinique est bien établis. En effet, La moelle osseuse, le sang de cordon ombilical et les embryons fertilisés ont été pendant des décennies préservés.
La cryopreservation des cellules souches dentaires représente tout simplement l’application d’une nouvelle technologie de source de cellules souches. En effet, le service bancaire commercial des cellules souches dentaires est aujourd’hui disponible. Le concept de la banque de cellules souches pour l’usage clinique future été considère peu après leurs découvertes. Dés que les dents sont récupérés par les médecins dentistes, ils seront transportés depuis le cabinet dentaire vers le laboratoire.
Les cellules devraient être transporté dans une solution de conservation isotonique stérile et refroidie afin d’éviter toute contamination microbienne, et livrées rapidement ces CS vers le laboratoire. Les laboratoires doivent avoir des processus valides avec des paramètres de contrôles de qualité appropriés permettant d’éliminer toute contamination florale orale des dents.