Ces cellules souches ont la capacité d'induire la formation osseuse, de générer la formation de la dentine mais aussi de se différencier, in vitro, en d'autres types de cellules souches mésenchymateuses hormis les cellules souches dentaires. Contrairement, aux celules souches de la pulpe dentaire, ces cellules présentent des taux de prolifération plus élevés.
Ces cellules présentent une plasticité élevée et pourraient se différencier en neurones, adipocytes, ostéoblastes et odontoblastes.
En outre, dans le cas du mécanisme de régération tissulaire d'une pulpe dentaire atteinte par un processus infectieux.
Les études in vivo utilisant ces cellules, ont permis de constater la formation de tissu pulpaire ayant une architecture et une cellularité ressemblant beaucoup à une pulpe dentaire saine. De plus, les SHED pourraient être une source potentielle de cellules souches postnatales pour le traitement des maladies de Parkinson.